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Société perdue

  • Photo du rédacteur: Vincent Heldenbergh
    Vincent Heldenbergh
  • 26 juil. 2015
  • 2 min de lecture

Une, deux photos,

soleil du jour, profitez ;

société perdue.

D’une petite balade, un dimanche matin, puis-je tirer quelques enseignements ? Je cherche les liens entre Jaures et Charles Michel. Sur les traces de la juste vérité, je suis toujours en questionnement. Pourquoi, pour flatter son égo, doit-on toujours détricoter ce qui est construit ? Faire confiance, puis le regretter ? J’en suis un des premiers coupables. Oser regarder, mais ne pas agir. Affronter, au jour le jour, le terrain ; là où cela fait mal. Oser parler à son voisin. S’occuper réellement de l’autre. Cela n’est maintenant qu’utopie. Quelles sont encore les valeurs d’une démocratie qui oublie, rejette ses pairs (pères).

Jean Jaures, André Cools, Jean Gol, François Perrin, vous vous retournez dans vos tombes.

Qui fera le premier pas dans une société en crise ? Bien au chaud dans nos certitudes, nous oublions la vérité du jour. Une sans-domicile-fixe avec sa petite fille sonne à ma porte. Comment vais-je répondre ? Un sans-domicile-fixe au soleil, et puis …

Des responsables qui courent, se réunissent, mangent, s’occupent de leur santé. Ils terminent leurs derniers devoirs de députés, de conseillers, d’échevins. Oui, j’ai voté pour eux. La chambre se referme sur de nouvelles réformes. Vive les vacances. Au revoir la politique.

Et moi, j’y ai pensé. Je souhaite donner. Je donne un euro, parfois cinq. Mais, toujours, je me sens coupable. Et comme tout coupable, je recherche le responsable : économie, société, pouvoir, argent, politique.

Et puis, un sourire, des échanges, l’autorisation gratuite d’un instantané. Je n’ai pas encore de réponses, juste une ou deux solutions. Se réfugier dans l’art, l’écriture, la compassion et tout au bout, un peu d’espoir.

 
 
 

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