Un pas, un PAS ...

Tout va très bien. Tout va très très bien. Et à Liège, putain, quelle ville, hein Bouli, là où il y a encore un peu d’humain, merde, enfin, … et c’est le drame qui prend un nouveau tournant. Tout sera joli, dans un futur proche. Lointain déjà les larmes de nos parents, grands-parents, toutes ces générations d’immigrés, tous ces vieux italiens ; j’ai croisé en 1963, sur le plateau de Michel (santé à lui) …, et qui, qu’eux, qu’elles, que cet enfant vraiment trop brun, n’ont même pas eu la chance d’amerrir sur une plage de Calabre. À mon nos autes ou sans comment ou in english. Parfois, c’est mieux car de toute façon que veut encore dire LIBERTÉ… La vie s’arrête parfois à un feu. Le feu d‘une bouilloire qui chante sur le feu du charbon ou d’un vieux poêle à mazout. Ssssss, elle chante silence, car je pense pour Toi et tout se tait, faute de sait. Moi jamais, las , je n’ai pas la place. Je n’ai pas le pas et/ou trop de PAS. Demain j’écrirai pour la fin d’un mois. Pas. PAS d’un moi. Car déjà fait. La copie est facile. L’art est difficile. Alors sûrement copier/coller. Bises, à moins d’un mètre cinquante, sauf en Chine. Et demain, et demai, et dema, et dem, et de, et d … tout s’effac…

Alors le pas de danse, le pas de d’Ans, le pas de deux ou le pas du tout, le pas chemin ou le pas d’accord, le pas vivant ou le PAS vivant ou presque mort, quand traversent les chemins, les routes, les fleuves, les ondes, … j’y rencontre mes fantômes. À vos rêves…

Perché, d’un léger péché, un réel plaisir et si j’aurai la diarrhée (pfouffff, ploutch, difficile sans correcteur), j’aurai aussi confiance, confiance, Sssssss … et zoom, si tu as envie car d’une actualité « mort » « Dante ». La vie d’un souffle ou d’une retenue.

Merci pour votre temps.