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Oceano read again, oceano road again !

  • Photo du rédacteur: Vincent Heldenbergh
    Vincent Heldenbergh
  • 19 sept. 2016
  • 1 min de lecture

Oceano read again ! Oceano road again !

Toutes ces idées qui germent dans ma tête. Je respire par la peau. Je transpire par la bouche. J’exhale des odeurs fétides, des effluves viraux. Je suis ivre d’air. Je pense à toi. Je suis vivant.

Il se tire le portrait, comme il voudrait être, comme il se sent, comme il voudrait être désiré.

Il craint pour sa capacité ou sa

volonté d’écrire et d’exister.

Comme un devoir non fait d’enfant ou d’adolescent. La crainte, encore, d’un professeur ou d’être jugé.

Il médite, ferme les yeux, ouvre son esprit. The dove is never free.

Entre le blanc et le noir, la vie. Taches d’encre. Ancre où ne je lis pas l’avenir. Oublier, s’oublier, rompre les connexions des neurones. Voguer de l’hémisphère gauche à l’hémisphère droit sans pouvoir se décider, comme dans une écriture automatique et chercher le jugement ultime.

Habitudes, hébétudes, en manque d’illustration, d’illusion, de volonté. A la ramasse. Il ne cherche plus. Il dort, dans son inconfort, réalité de sa vie. Vie pleine et réussie. Vie d’envies et de pertes. Pétri, flétri, endormi sur ses idées noires, rêves irréalisables, désirs inavouables, paradis perdu au milieu des nuages, des vapeurs et des sons. Aban donné, oublié au bord de sa route,

On the road, why again

Oceano nox V. HUGO

Vincent, Liège Herstal septembre 2016

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