Haubans, au banc, ....
- Vincent Heldenbergh
- 22 mars 2017
- 1 min de lecture
Ecrire pour toi. Bouger, écrire, chanter ta solitude, ta gratitude, ma faiblesse. Ton autre visage, yeux bruns sur fond d’âme. Braises. Jeux et sourires, tes éclats de joie. Et puis l’isolement, ces mots durs sur la mort. Rêve angoissé, ne pas dormir, peur de se réveiller. Penser à toi. Penser à l’absent. Pensées lisses, S’y mirer comme dans un élixir de jeunesse, De culotte courte et insouciance. Broyer du noir pour ne pas broyer l’autre. Pardon. Sage, à l’écoute. Se séparer pour se retrouver ou simplement Ouvrir tes yeux pour me découvrir Une nouvelle identité, encore vivant. Insouciance, insécurité, en recherche et Te trouver toi, mon double, ta moitié. Mon cœur noué de tes sentiments qui Me rendent esclave.
Tirer sur les haubans En retrouvant l’équilibre. Arigato. A demain.

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