Philosopher's slam (poem) (rubbish)
- KameSanni
- 24 sept. 2018
- 1 min de lecture
Philosopher‘s slam (poem) [i]
J’aurais voulu t’écrire
Tant de mots doux, d’idées sages
M’ouvrir sur tes yeux pour mieux te voir rire
S’offrir une vie sur ces images
Enfants de siècle, dépassés
Dans nos tonneaux enfermés, abandonnés
De septembre à décembre
Mois d’été plus que cendre
Au fil d’un temps
Toujours à la recherche des idiomes d’antan
Je croule, je roule
Dans un couffin, je me coule en boule
De l’esprit d’un enfant
J’aimerai retrouver la verve
Pour hurler aux quatre vents
Brûler ces idéaux, sans réserve
Tendre encor et encor
Vers ces rêves qu’on endort
D’une année, jeter le sablier
Du jour et de la nuit, en extraire l’ultime lumière
Pour ne plus jamais s’oublier
Et se tordre de gaieté, comme un fier
J’aurai tant aimé t’écrire cette chanson
Quelques notes, un clavier, la bande son
Mais déjà la fin, de la page
Comme violent orage
Vient balayer en toute impunité
Ce que fût, la fin d’un bel été
When we grew up and went to school
There were certain teachers who would
Hurt the children any way they could
By pouring their derision
Upon anything we did
And exposing every weakness
However carefully hidden by the kids
The Wall - Another brick in the wall - Pink Floyd

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