D'un autre monde à quelqu'un d'autre ... il n'y aura pas photo.
- Vincent Heldenbergh
- 31 déc. 2021
- 1 min de lecture
Douce, douze, il s’éteindra comme le souffle sur l’étincelle.
Bougie incandescente au cœur. Il frôlera les abysses. Il s’endormira dans les abîmes.
Aux portes du rien, sur le fil du néant, il s’attachera à l’essentiel sur la lie du superflus, juste en sortant du rêve.
Il se nourrira de souvenirs, pour voyager sur les routes nouvelles, cavalier de l’ombre, capé de noir.
Comme dans la fin d'un règne, sa mémoire s'effacera au fil d'un temps, dans de tendres cauchemars ou dans des rêves inachevés.
Et quand, parfois, souvent, pour ceux, mieux, se Terre. Trois. Troie. Crois.
Il se réveillera au milieu de la nuit.
Il se réveillera des bruits de la vie.
Il se servira de malt et d’orge.
Il brassera son destin, comme un nouveau voyage.
Le début d’un nouveau siècle.
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