- 24 août 2020
- 1 Min
Encore vide, vite 2021
Un fol amour Comme à la fin Déjà, d’un était La fin, déjà, d’une quatre-saisons Trop épicée Mange la douceur D’un bel été Accompagné...
A l’ombre, la forêt
Hume parfum d’été
Puis après, …
Dans l’éphémère, la forêt,
j’hume ce parfum d’été.
Frôler du doigt cette trace,
sur ce tronc centenaire laissée,
une signature abandonnée.
Quatre lettres entrelacées.
Sous ton chêne,
cercles de la vie superposés et qui effacent.
Traces à jamais enfouies.
Tu n’es plus qu’ombre.
Forêt en noir et blanc où
je suis nuance de gris.
Je les entends crier, ma crainte, mes regrets.
Avec toi, encore, j’aurais aimé goûter au soleil, à la pluie.
Une mort, une vie.
En quête d’un huitième sens. Réconfort.
Forêt parcourue.
Te laisser. S’abandonner.
Puis après, …